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C’est ce qui ressort d’une enquête menée en Aquitaine en 2008 auprès de 356 sportifs. L’enquête a révélé un autre phénomène : celui de la « culpabilité » ou de « l’auto-accusation » qui explique la part importante (plus de 11 %) de jeunes sportifs qui ne font que « penser » avoir été victimes de violences sexuelles.
Un numéro d’écoute et d’aide aux victimes de violences sexuelles dans le sport a été activé : il s’agit du « 08 victimes » 08. 842. 846. 37 (Numéro non surtaxé) et les présidents de toutes les fédérations sportives sont invités à signer la Charte de bonne conduite qui contient des recommandations de base, telles que la non-mixité des vestiaires, l’interdiction de conversations sur les orientations sexuelles ou la séparation des lieux de vie des sportifs et des « encadrants ».
Une campagne de sensibilisation « Sportif oui, victime non » est déclinée en tracts et cartes de visite (à télécharger depuis le bas de cette page).
Vidéos
Les 4 saynètes ci-dessous présentent différents contextes dans lesquels des situations de violences sexuelles sont suggérées.
- Pression exercée par un groupe en direction d'un sportif du groupe
- Relation ambiguë entre un entraîneur et une sportive
- Difficulté de la révélation de faits de violence, une victime et une conseillère
- Agression déjouée par un entraîneur à l'occasion d'une réunion festive
Documents
Mise à jour : septembre 2021